Dans nos modes de penser, nous avons pris la mauvaise habitude de nous occuper des symptômes plutôt que de leurs causes. Ainsi dans la crise sanitaire actuelle, il est utile de se poser la question sur les raisons de l’apparition du virus. Pourquoi affecte-t-il spécifiquement les poumons ? Pourquoi se répand-il principalement dans les grandes villes et dans les régions industrialisées ? Qu’est-ce qui dans notre vie serai devenu si irrespirable ? On devine la réponse : les pollutions de l’air.
A l’échelle planétaire, les poumons sont devenus l’organe «maillon faible» de l’humanité. Contrairement aux idées reçues, l’activité des virus et des microbes n’apparaît que lorsque l’affaiblissement de l’organisme atteint un
niveau critique. C’est ce qui explique la prolifération actuelle du virus. Dans l’histoire de l’humanité, le prânâ fut notre première source d’énergie vitale. C’est dire l’importance de la qualité de l’air pour notre santé et à présent notre survie.
Les causes profondes de l’épidémie proviennent de la perte du contact avec la nature. Ainsi l’agriculture a cédé la place à des exploitants agricoles qui épuisent les sols et produisent des aliments carencés en énergie vitale.. Le corps subtil qui est en correspondance avec les voies respiratoires s’appelle, comme par hasard, le corps causal…
La solution de toute cette histoire est l’adoption d’une authentique culture écologique. C’est la cause de l’écologie qu’il convient de défendre et de généraliser. Pour cela seul un changement complet de notre manière de penser, de vivre et de produire peut nous sortir d’affaire ! C’est à une véritable perestroïka (déconstruction-reconstruction) à laquelle nous devons nous atteler en nous reconnectant à notre nature spirituelle profonde épurée de tous les sectarismes. De manière concrète, nous disposons d’une arme pacifique absolue : le boycott des industries les plus polluantes.
Cessons de consommer leurs produits.
La Terre ne nous appartient pas, nous lui appartenons. Tel une mère, elle est en train de nous donner des leçons, écoutons-la. C’est urgent !
Serge Fitz