L’eau est indéniablement le grand oublié de la médecine et des médecines actuelles. Or tout commence dans l’eau (liquide amniotique) et par l’eau. Le rituel du bain et la tradition du baptême en attestent l’importance. Les enfants adorent barboter dans l’eau et les vacanciers se ruent vers les plages. Les semblables s’attirent. En période de sécheresse, les récoltes sont mauvaises. L’eau est un élément vital de première importance sans lequel nous ne pourrions pas vivre.
Vous n’etes pas malade, vous avez soif !
Pourtant, en matière de santé l’eau ne semble guère intéresser grand monde alors qu’elle joue un rôle essentiel. « Le docteur-nature » fonctionne à l’eau : « à l’eau docteur » ! Si vous vous sentez mal, essayez de boire davantage, vous serez étonné par l’amélioration rapide de votre état de santé. Pour le médecin Fareydoon Batmanghelidj, la plus part des maladies, y compris le cancer, sont dus à une déshydratation chronique. Le corps humain est composé de 25% de matière solide (soluté) et de 75% d’eau (solvant). Les tissus cérébraux contiennent 80% d’eau. Alors pourquoi l’eau reste-t-elle la grande oubliée ? « Parce que, répond Batman, lors des premières recherches sur le corps humain, l’eau contenue dans le corps passait pour n’agir qu’en tant que solvant, créateur de volume et moyen de transport. Cette vision était générée par les expérimentations en éprouvettes des laboratoires de chimie. On n’attribua aucune autre propriété fonctionnelle au solvant. Il en résulte que la compréhension fondamentale qui prévaut dans la médecine scientifique d’aujourd’hui – résulte d’un programme éducatif directement issu du passé – considère les corps dissous comme des régulateurs et l’eau uniquement comme un solvant. Le corps est ainsi réduit à n’être qu’une énorme „éprouvette“ pleine de solides de nature différente et son eau qu’un „matériel de remplissage“ chimiquement insignifiant. ».
De cette erreur d’appréciation, les signaux d’alarme du corps signifiant une déshydratation, telles que les dyspepsies (brûlures et aigreurs d’estomac), les douleurs rhumatismales, les douleurs dorsales, les douleurs articulaires, les angines, les douleurs cardiaques, les maux de tête, les douleurs des jambes lors de la marche, furent soignés à l’aide de médicaments et non au moyen de l’eau !
« Ainsi, les douleurs chroniques doivent avant et par-dessus tout être interprétées comme signaux de déshydratation dans les régions corporelles où elles surgissent, comme une soif locale, avant d’imposer au patient un autre traitement. Dans le cas contraire, des complications se produiront sans aucun doute en cours de traitement. Il n’est que trop tentant et facile de considérer ces signaux comme ceux d’une maladie grave en cours de développement et de tenter de la soigner par des traitements compliqués. Là où l’eau soulagerait par elle-même la douleur, on risque de mettre en route des investigations contraignantes et pénibles pour établir un diagnostic, et même d’imposer des médicaments au malade. Cela est de la responsabilité autant du patient que du médecin d’être conscient des dégâts qu ‚une déshydratation chronique peut causer dans le corps humain ».
Boire régulièrement
L’excès de cholestérol dont se plaignent tant de personnes indique une déshydratation. L’hypertension, la dépression nerveuse, le stress, les colites et même certaines formes d’obésité sont dues à des carences en eau. Pour mieux comprendre ce qui se passe, prenons un exemple. En cas de déshydratation, il y a risque de formation de bulles d’air dans le système circulatoire. Or, chacun sait qu’une bulle d’air dans le sang peut être fatale. Dans son immense sagesse, que fait l’organisme ? Il compresse le système circulatoire : c’est « l’hypertension » ! Or, le réflexe médical classique consiste en pareil cas à donner des médicaments pour abaisser cette tension, alors qu’une prescription visant à augmenter la consommation journalière en eau aurait suffi à résoudre le problème tout au moins en grande partie. Toute une série de dysfonctionnements disparaissent si on réhydrate l’organisme en ramenant l’alimentation en eau à son niveau nécessaire : 1 litre 8 par jour. Ce réflexe est source de santé durable. Il doit exister aussi bien dans la vie professionnelle que dans la vie personnelle. Mais attention, ne pas noyer l’organisme et ne pas boire n’importe quelle eau.
L’eau de boisson naturelle est l’eau de source
S’imaginer que le thé, le café, l’alcool et les boissons industrielles sont des substituts corrects aux besoins en eau pure et naturelle de l’organisme quotidiennement stressé est une erreur fondamentale. Il est vrai que ces boissons contiennent de l’eau, mais leurs autres ingrédients sont des agents déshydratants. Ces derniers se débarrassent de l’eau dans laquelle ils sont dissous et revenu à leur état normal puisent de l’eau dans les réserves du corps ! Ils boivent à votre place ! Les enfants sont les premières victimes des sollicitations de la publicité pour les boissons sucrées. Il y a encore quelques décennies les eaux minérales n’étaient vendues que dans les pharmacies ! Ce sont des médicaments et non des eaux de consommation courante. C’est dire la dérive qui s’est produite. En pratique, seules les eaux à faible teneur en minéraux ou bien les eaux obtenues par osmose inverse, ou par vortex sont propices à la santé. Ceux qui ont la chance d’habiter à la montagne disposent bien entendu d’un trésor naturel … à la source ! Une eau de boisson courante ne doit pas contenir plus de 50 mg de substances minérales par litre. Les puristes vont même jusqu’à recommander une eau à 10 mg par litre.
Pollution de l’eau organique
Mais quelle est la « forme » de l’eau dans l’organisme humain ? D’après les travaux des scientifiques russes (tels que C.V. Zénine), « l’eau vitale » se présente sous forme cristalline, en d’autres termes, elle est structurée. Elle possède une forme de tétraèdre dodécaédrique qui assure une libre communication entre leurs différents « quanta ». Pour faciliter cette structuration et consommer le moins possible d’énergie, la qualité de l’eau de boisson est donc particulièrement importante. Mais l’eau, on le sait, est capable d’enregistrer toutes sortes d’informations (mémoire de l’eau). Cette capacité est largement utilisée en homéopathie et dans les transferts énergétiques grâce aux dispositifs radioniques tels que le décagone. Aussi, l’eau contenue dans l’organisme humain peut subir une détérioration par le biais des chocs psychologiques et d’une manière plus générale par le regard de l’individu face à la vie. Les foyers infectieux ainsi que la mémoire négative familiale ou personnelle, est en mesure de déstabiliser la nature de l’eau organique par un remplacement de l’hydrogène par son isotope le deutérium (D) passant de H²O à l’eau lourde dont la formule est : D²O. Toute personne ayant des quantités d’eau lourde dans son organisme ne peut pas retrouver la santé. Il est donc tout à fait essentiel de s’en débarrasser. Cela est possible par l’une des technologies bio informatives dont on dispose actuellement.
Technologies bio informatives russes
La nouvelle technologie bio informative consiste à créer ce que l’on appelle une « rangs vibratoire » spécialement destinée à effacer les informations polluantes contenues dans l’organisme. La clef de cette technologie réside dans le fait que la conscience humaine est constituée par une matrice de mots et que le génome humain dispose d’un canal de liaisons informatives entre d’une part les mots et d’autre part ses propres structures analogiques au langage qui y sont inscrites. Partant de ce constat, il devient possible de « piloter » telle ou telle fonction de la conscience par le biais de messages informatifs (bio-communication). Pour cela on se sert de « rangs vibratoires » constitués de chiffres, de lettres et de formes. Ces méthodologies sont actuellement utilisées de manière courante dans les milieux novateurs russes*. L’élimination de l’eau D²O peut également se faire par le biais d’une substance extraite d’une algue marine, le Laminaria Japonica. Il en a été extrait un médicament, connu en Russie, sous le nom de Vitalgar. Les propriétés extraordinaires de cette substance permettent de rallonger la vie d’une trentaine d’années.
L’eau vivante / l’eau morte
L’eau se présente à nous de diverses manières : eau, vapeur, glace. Elle passe également par des variations cycliques : « eau vivante » / « eau morte ». Dans les intervalles entre 2h20-4h25, 5h15-6h, 6h25-7h35, 9h20-11h50, 14h20-16h20, 19h10-21h30, 23h10-23h40 (en heures d’été **) l’eau est « vivante ». En dehors de ces périodes l’eau est « morte ». L’eau « vivante » est recommandée pour la boisson et d’une manière générale l’accélération des processus vitaux. L’eau « morte » est recommandée pour se laver, se baigner ou bien pour soigner des blessures. Elle stabilise et concentre. Les deux eaux sont indispensables à l’équilibre vital de l’homme.
L’eau vibrée
On l’obtient à l’aide d’une simple bouteille champenoise et d’un bouchon. On remplit la bouteille d’une bonne eau de source et on place un bouchon en liège dans lequel on fait passer une pique en bois de manière à ce qu’elle trempe sur quelques cm dans l’eau. Au bout d’une heure, on obtient une eau aux propriétés extraordinaires : celles de l’eau de pluie, c’est à dire qu’elle perd sa caractéristique tellurique et devient cosmique. L’eau vibrée constitue un soin énergétique efficace. La prise d’eau vibrée agit sur l’eau organique au point de voir cette dernière se modifier au bout de 15 jours à trois semaines. On constate alors
- une transformation de la qualité de l’eau organique qui atteint rapidement son plafond
- le pH se stabilise à 7
- le rH2 se stabilise à 28
- les pourcentages d’eau pure aussi bien dans les solides (os et muscles) que dans les liquides (sang et lymphe) frôlent ceux mesurés chez les nouveaux-nés.
- la remise à zéro de la pollution médicamenteuse, même dans les cas de traitements lourds de chimiothérapie.
D’une manière plus simple, il est possible de charger l’eau par des pensées curatives, de la purifier, ou de l’énergétiser à l’aide d’une coquille St Jacques placée, en contact avec un récipient, comme indiqué sur la photo.
Il est essentiel d’établir ou de rétablir avec l’eau des rapports privilégiés. Elle est à la source de notre bien être physique, psychique et spirituel. L’eau fluidifie les comportements. Sur le plan symbolique elle s’associe aux profondeurs inconscientes de l’âme et à la médiumnité. C’est un condensateur fluidique. La méditation au contact de l’eau apporte d’indicibles réponses et le bruit de son ruissellement ouvre les chakras.
Enfin, il est important de redonner vie à l’eau en la remettant en mouvement par des dispositifs tels que les vortexeurs.
Serge Fitz
* Des technologies similaires sont décrites dans « Le check up psycho bio énergétique / les fondements énergétiques de la maladie et « Eco-médecine » chez Servranx (Belgique).
** Pour les heures d’hiver retran